Les renseignements suivants peuvent figurer dans plus d'une question.
Justine, une CRIC, a identifié une agente potentielle, Maria, pour l'aider à développer ses affaires à l'étranger. Maria possède une école de langues mais n'a jamais travaillé avec des clients souhaitant immigrer au Canada.
Maria, l'agente potentielle de Justine la CRIC, est disposée à servir d'interprète lors d'une consultation initiale avec un client étranger qui ne parle que sa langue maternelle. Quelle est la meilleure façon pour Justine de gérer la barrière linguistique ?
Explication :
Un CRIC doit obtenir le consentement éclairé écrit du client avant qu'un agent puisse assister à une consultation initiale ou à toute autre réunion. Ce consentement doit inclure le nom de l'agent, son rôle, et la raison de sa présence.
Dans ce cas, Maria, l'agente potentielle de Justine, peut servir d'interprète pour surmonter la barrière linguistique entre Justine et le client étranger. Toutefois, avant que Maria puisse participer à la consultation, Justine doit obtenir le consentement écrit du client, lui expliquant le rôle de Maria en tant qu'interprète et les raisons de sa présence. Cette démarche garantit que le client comprend bien la situation et accepte la participation de Maria.
De plus, Justine doit s'assurer que Maria comprend et respecte les exigences du Code de déontologie, notamment celles liées à la confidentialité et à l'exactitude de la traduction. Maria doit traduire les propos sans ajouts ni modifications, et traiter toutes les informations du client de manière confidentielle.
Les autres options proposées ne respectent pas les normes professionnelles ou ne sont pas appropriées selon les règles du Collège. Utiliser une application de traduction gratuite, refuser la consultation, ou faire traduire par un ami ne garantissent pas la qualité ni la confidentialité requises.
Référence : Code de déontologie du CCIC, Article 22(4)
Explication :
Un CRIC doit obtenir le consentement éclairé écrit du client avant qu'un agent puisse assister à une consultation initiale ou à toute autre réunion. Ce consentement doit inclure le nom de l'agent, son rôle, et la raison de sa présence.
Dans ce cas, Maria, l'agente potentielle de Justine, peut servir d'interprète pour surmonter la barrière linguistique entre Justine et le client étranger. Toutefois, avant que Maria puisse participer à la consultation, Justine doit obtenir le consentement écrit du client, lui expliquant le rôle de Maria en tant qu'interprète et les raisons de sa présence. Cette démarche garantit que le client comprend bien la situation et accepte la participation de Maria.
De plus, Justine doit s'assurer que Maria comprend et respecte les exigences du Code de déontologie, notamment celles liées à la confidentialité et à l'exactitude de la traduction. Maria doit traduire les propos sans ajouts ni modifications, et traiter toutes les informations du client de manière confidentielle.
Les autres options proposées ne respectent pas les normes professionnelles ou ne sont pas appropriées selon les règles du Collège. Utiliser une application de traduction gratuite, refuser la consultation, ou faire traduire par un ami ne garantissent pas la qualité ni la confidentialité requises.
Référence : Code de déontologie du CCIC, Article 22(4)